Cecilia Vicuña : Rêver d'eau, une rétrospective du futur (1964-…)
Catalogue : Cecilia Vicuña : Rêver d'eau, une rétrospective du futur (1964-…)
Organisé par Miguel A. Lopez, organisé par le Musée national des beaux-arts de Santiago et en collaboration avec le Musée d'art latino-américain de Buenos Aires et la Pinacothèque de São Paulo.
Livre : Broché
Pages: 345
langue portugaise
R$180,00
le montant:
Rêver d'eau, une rétrospective du futur (1964-…) est l'exposition anthologique la plus complète jamais consacrée à la poète, plasticienne et militante féministe Cecilia Vicuña (Santiago, 1948). Organisée par Miguel A. Lopéz et organisée par le Musée national des beaux-arts de Santiago (MNBA), en collaboration avec le Musée d'art latino-américain de Buenos Aires (MALBA) et la Pinacothèque de São Paulo, l'exposition propose une lecture de travail de Vicuña dans une perspective sud-américaine.
Avec la publication qui l'accompagne, il analyse soixante ans de production de vigogne, de 1964 à nos jours, en soulignant ses liens avec le Chili, l'Argentine, la cordillère des Andes, la mémoire textile précolombienne, les luttes féministes et l'érotisme, ainsi qu'avec les revendications de l'autodétermination des communautés autochtones. Les plus de deux cents œuvres exposées comprennent des peintures, des dessins, des sérigraphies, des collages, des tissus, des vidéos, des photographies, des installations, des livres d'objets, des documents et des performances sonores réalisées dans différents lieux des Amériques et de l'Europe.
Depuis les années 1960, le travail visionnaire de Vicuña se consacre à honorer l'équilibre et la réciprocité du monde naturel, sans l'attaquer ni y intervenir violemment. Son travail valorise la dimension rituelle, médicinale et curative de l’art. Sa compréhension cyclique de l'acte créateur se manifeste dans des œuvres qui sont des actions projetées dans le futur et qui invitent, à leur tour, à de nouveaux actes de création collective.
Soixante ans après l'instauration de la dictature militaire au Brésil (1964), cinquante ans après le coup d'État militaire au Chili (1973) et quarante ans après le retour à la démocratie en Argentine (1983), cette publication nous rappelle l'engagement de Vicuña dans les luttes contre les croyances populaires. , le respect des droits de l'homme et l'importance de faire face à la dévastation dans son large spectre, et nous appelle à la collectivité et à nous reconnaître comme des êtres sensibles capables de transformer la réalité.
Rêver d'eau, le nom de l'exposition, est une invitation à changer notre rapport à la Terre. « Sans humidité, il n'y a pas d'humanité », rappelle l'artiste. Ses créations ne sont pas seulement des témoignages du passé, mais aussi et surtout des témoins d'un futur ouvert, vivant et en devenir.
Poids | 940 g |
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Dimensions | 5 × 19 × 25 cm |